The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent sur Xbox Jeu Video

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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent

 
The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent
Classé 7305 sur 26290 jeux au général
Classé 333 sur 698 jeux sur Xbox
 
La presse:
(4 Notes)
13.8
Les joueurs:
(1 Note)
13.0
 
Note globale Catégorie Notez ce jeu
67% C
 
 

The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent - Description

Ce jeu Xbox est sorti le 10/2005. Si vous êtes fan de jeux video de , faites vous plaisir et jouez y !

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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent - Images du Jeu Video

The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent - Xbox
Recto de la pochette
The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent - Xbox
Verso de la pochette
The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent - Xbox
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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent : avis des membres



13
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Certains aiment prendre des bains (beaucoup même, cest à la mode en ce moment) : bains de mousse, bains de boue, bains dalgues Notre protagoniste, lui, optera plutôt pour des bains dhémoglobine. "The suffering : Les Liens Qui Nous Unissent" (la suite de "The Suffering") est un mélange de FPS, de survival horror, daction et de boucherie. Midway nous offre ainsi un vrai melting pot sanglant. Le jeu débute là où son aîné sétait terminé Alors pour les gamers connaissant déjà le premier titre et qui voudraient savoir ce quil advient de notre petit Torque, fraîchement évadé de prison ; Cest dans cette suite saturée de la jolie couleur rouge quils trouveront les réponses

Pour mettre tout le monde au parfum, lors de "The Suffering" premier du nom, on est mis dans la peau de Torque, un homme souffrant de problèmes psychologiques et condamné à la peine létale pour avoir massacré sa famille. Lors de notre dernière marche, le long du couloir qui est censé nous mener à la mort, des événements se produisent soudainement et nous permettent de nous échapper. Après plusieurs péripéties et plusieurs giclées dhémoglobine, on parvient à séchapper à bord dune vedette en route pour notre ville natale : Baltimore. Voilà où "The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent" reprend laventure de notre ex-taulard. A bord de la vedette, il est victime dune hallucination Il voit sa femme (décédée) marchant sur leau. Cette vision est brusquement interrompue par le vacarme dun hélicoptère armé duquel des mercenaires interpellent notre protagoniste et lexhortent à accoster sans discuter. Voyant quil na aucune chance, Torque ne peut faire autrement que de suivre les ordres. A peine le pied sur la terre ferme, des gardes surarmés le sanglent et le conduisent au cur de leur complexe pour le questionner. Linterrogatoire na pas le temps de commencer quune explosion vient tout chambouler, donnant une nouvelle fois à Torque lopportunité de retrouver la liberté (Encore ?! Décidément, Surreal Software a dû négocier pour garder son héros !). Voilà, maintenant laventure (ou la boucherie) peut enfin commencer.

Tout dabord, je tiens à signaler que le point fort du jeu réside dans lambiance qui sen dégage : une sensation de mal-être incessante, comme une sorte de déchirement psychologique, imprègne laventure du début à la fin. Votre vue sera souvent troublée par des visions cauchemardesques dindividus torturés, de créatures plus horribles les unes que les autres, de scènes macabres Enfin bref, un enfer permanent ! A chacun de vos pas, vous entendrez des hurlements dâmes suppliciées, mises à mort dans des circonstances pas très recommandables ou alors vous serez hantés par des scènes montrant des personnes mises en pièces dans des flots de sang etc. En fait, "The Suffering 2" utilise la peur qui nous habite tous de quitter ce monde de manière atroce. Et cest que ça marche sacrément bien : le Dr. Hannibal en personne passerait presque pour un enfant jouant avec des fourmis à côté des diverses créatures qui rôdent tout autour de vous, chacune dentre elles étant assaillie de tourments et à la recherche perpétuelle de violence et de sang. Vous rencontrerez, à titre dexemple, des monstres dont la tête nest plus rattachée au corps que par quelques morceaux de chair en décomposition et par des vis avec, en guise de membres, des lames acérées leur permettant de tuer sans le moindre effort ou de grimper facilement aux murs et plafonds. Au début, ça surprend vraiment de voir ces créatures venir de tous côtés avec, pour seule mise en garde préalable, le bruit de leurs lames pénétrant les murs qui vous entourent. Dautres êtres, les toxico, sont des corps humains, transpercés par des seringues pleines dhéroïne et qui rampent au sol à une vitesse assez surprenante en vous lançant leurs seringues ou en sagrippant à vous dans lunique but de vous conduire à loverdose et de vous faire rejoindre lau-delà Un peu plus et joubliais de préciser que toutes les monstruosités rencontrées sortent tout droit du crayon de Mr. Stan WitsonVous connaissez ? Non ?! Le papa d"Alien" et de "Predator", cest lui !!!

Le gameplay, quant à lui, est assez basique mais bien pensé. Globalement, le soft se joue à la troisième personne avec la possibilité de switcher directement en vue FPS, sans ralentir ou altérer laction ; ce qui est assez pratique dans les phases de gunfight... Torque possède toujours le don de se transformer en monstre surpuissant pour déchiqueter tout ce qui se trouve devant lui mais cette fois-ci, deux métamorphoses différentes seront possibles : vous pourrez prendre le visage de Démoniaque (ce nest pas son nom mais bon, je trouvais ça pas mal vu sa tronche et sachant quil incarne votre côté maléfique), caractérisé par des couleurs beaucoup plus sombres et des formes très acérées ou bien celui dune espèce de Hulk bleu avec une énorme griffe faisant office de bras droit (celui-ci est censé incarner le Bien qui réside en vous). Ces deux faces de votre être sont chacune dotées dune attaque massive propre. Votre transformation en lun ou lautre de ces avatars dépendra de vos actes envers les individus rencontrés au fil du jeu : si vous les aidez en écoutant les conseils avisés de Feu votre femme, votre âme se dirigera du côté du Bien et vous vous changerez en géant bleu. En revanche, si vous massacrez quiconque vous faisant face en ne suivant que votre démon intérieur, eh bien la parure de Démoniaque (Oui, je maintiens ce petit nom) vous ira alors à ravir. En terme darmement, Midway nous propose une vaste panoplie de joujoux allant du simple Colt semi-automatique au M-60 ou lance-roquettes, en passant par le fusil à pompe, le fusil à canon scié etc. Un arsenal bien garni qui vous permettra de voir dégouliner des hectolitres de sang à la minute et vous assurant une douche écarlate si vous vous trouvez à moins dun mètre de la bestiole en train de rendre lâme... On retrouvera donc assez souvent Torque couvert de la tête au pied par ce liquide rouge au goût métallique Charmant non ?

Néanmoins, malgré toutes ces petites phases amusantes, le jeu, selon moi, a été sorti à la va vite ; Midway profitant du fait que le premier opus soit encore bien frais dans nos esprits. En effet, même si lidée dun scénario avec, pour question centrale, l'instabilité de létat psychologique de Torque est intéressante à la base ; elle nest pas entièrement exploitée et laisse plutôt place à une multitude de scènes daction. Effectivement, le jeu consiste la plupart du temps à tirer sur des vagues dennemis arrivant de toutes parts et à survivre à ces assauts. Bien souvent, il ny a que le décor et les traces de sang projeté sur les murs qui diffèrent... De plus, vous pouvez me croire (jen ai quelquefois bien bavé), la difficulté nest pas mise de côté ; oh que non ! Vous recommencerez sûrement plusieurs fois les mêmes passages avant de pouvoir avancer en direction dautres étapes sanguinaires, toujours plus gores les unes que les autres. Vous devrez de fait constamment surveiller vos munitions, choisir les bonne armes par rapport aux ennemis à affronter et parfois même faire exprès de laisser de la vie derrière vous, au cas où vous vous approcheriez un peu trop près de la mort, afin davoir la possibilité de rebrousser chemin pour la récupérer et rester de ce monde. Ce qui arrive également assez fréquemment, après avoir accompli un petit génocide éliminant ces sales bestioles, cest davoir létrange impression dêtre comme bloqué ! On ne sait plus vraiment quoi faire Il faut alors attendre un moment (et quelquefois cest un long moment) pour quune porte ou une cinématique vous permette de continuer Frustrant à mon goût.

Pour finir en beauté, je dirai que "The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent" nest en fait rien dautre quune sorte de add-on du premier volet. Lambiance générale suscite une angoisse très forte lorsque lon pénètre lunivers dans lequel on va devoir évoluer, ce qui est un bon point ; mais malheureusement, les scènes daction sont beaucoup trop fréquentes pour que lon puisse à juste titre apprécier le scénario qui est mis à lécart. Cest vraiment dommage ! En plus, la difficulté et les problèmes de caméras agacent parfois franchement et du coup, on ne peut pas dire que ce jeu soit une réelle réussite. Attention, je ne dis pas pour autant quil ne vaut pas un clou mais par contre, si vous navez pas joué au premier épisode, je pense quil vous sera peut-être assez difficile dapprécier complètement ce volet. Il posséde une durée de vie entre 10 et 15 heures, tout en sachant que vous recommencerez plusieurs fois certain passages. Cela dit, on samuse quand même bien à éparpiller des tripes et des membres un peu partout Un jeu un peu vite fait, cest sûr, mais loin de se montrer désagréable !

 
 
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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent

Support Xbox
Editeur Midway
Développeur Surreal Software
Genre
Sortie officielle Oct 2005
Joueurs max 1
Import NON
Titre alternatif n/c
UPC/EAN n/c
 
 
The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent : Espace membre
2 membres ont ce jeu dans leur collection
 
 
Revue de Presse des Jeux Video
Gamespot 14/20
IGN 16/20
Jeuxactu 12/20
Jeuxvideo.com 13/20
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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent : avis des membres

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