Final Fantasy Anthology sur Playstation Jeu Video

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Final Fantasy Anthology

 
Final Fantasy Anthology
Classé 2356 sur 26290 jeux au général
Classé 133 sur 1105 jeux sur Playstation
 
La presse:
(0 Note)
  n/c
Les joueurs:
(3 Notes)
16.3
 
Note globale Catégorie Notez ce jeu
82% A
 
 

Final Fantasy Anthology - Description

Ce jeu Playstation est sorti le 05/2002. Si vous êtes fan de jeux video de Aventure, faites vous plaisir et jouez y !

Une petite leçon d'histoire...
FINAL FANTASY IV
et FINAL FANTASY V vous content deux histoires épiques,où se mêlent trahison,amour et rédemption et sont disponible pour la toute première fois ensemble!
*En exclusivité:de toutes nouvelles séquences cinématiques pour cette édition"d'anthologie"
*Découvrez les origines de ce qui fait la spécificité de la série des FINAL FANTASY:le system ATB (Active Time Battle),les mini-quêtes,les invocations et plus encore...
*Maîtrisez les nombreuses armes,sorts et autres compétences spéciales.
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Final Fantasy Anthology - Images du Jeu Video

Final Fantasy Anthology  - Playstation
Recto de la pochette
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Final Fantasy Anthology : avis des membres



16
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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« Né du dragon, il s'envolera aux cieux, flottant au-dessus de la terre tranquille, portant ombre et lumière. Eclairant la lune d'une lumière éternelle, il apporte une promesse à la Gaïa avec grâce et munificence. » Peut-être est-ce parce que cette ancienne légende de Mysidia fait office d'excellent prologue pour le scénario de FF4 que j'ai décidé d'en faire mon introduction ou peut-être, plus simplement, est-ce parce que je n'ai rien trouvé de bien convaincant à vous dire pour débuter ce test Quoiqu'il en soit, des choses à dire sur cet opus, il y en a beaucoup. Pour commencer, clamons haut et fort qu'il fut probablement le premier de son illustre série à exceller tant du point de vue scénaristique que ludique. Mais, si vous le voulez bien, procédons sans plus attendre à une dissection détaillée du sujet. Mon premier test pour artdujeu.com, essayons de faire ça bien,! ;-)

Afin que tout le monde s'y retrouve, commençons par résumer rapidement le parcours du jeu au travers de ses différentes éditions. La première version de FFIV est parue sur Super Famicom (la fameuse Super Nes) en avril 1991. Il fut le premier de la saga à sortir sur ce support, les trois précédents volets ayant été développés pour la Nes. Six mois après ce premier jet, en octobre 91, sort une seconde version du jeu, toujours sur Super Famicom, appelée FFIV Easy type. Les modifications apportées à cette édition relèvent, pour la plupart, de nuances scénaristiques ainsi que de variations liées à la difficulté du soft dans sa globalité : boss moins coriaces, nombre de compétences par personnage moins conséquent, passages secrets apparents etc. Tout à été fait dans l'optique de simplifier le jeu afin d'en faire un produit grand public. Un mois plus tard, le jeu sort aux USA sous l'appellation Final Fantasy II. Pourquoi 2 ? Tout simplement parce qu'il fut le second FF à s'aventurer au delà des frontières nippones et à parvenir jusqu'aux Etats Unis, après FFI quelques années plus tôt. Encore une fois, nombre d'éléments propres au scénario sont altérés/modifiés/supprimés : le jeu est soumis à une censure sévère et perd beaucoup de son charme originel.

Plusieurs années s'écoulent et en 1997, le jeu paraît sur PSX une première fois mais seulement au japon. En 99, Square lâche Final Fantasy Collection qui regroupe FFIV, V et VI mais cette fois encore, seuls les joueurs japonais possesseurs d'une Playstation peuvent en profiter. L'année 2001 voit la sortie de Final Fantasy Chronicles, un coffret réunissant FFIV et le superbe Chrono Trigger, autre RPG made in Square. Ce coffret n'est cependant distribué qu'aux USA, toujours sur PSX. Au mois de mars 2002, une adaptation Wonderswan Color débarque mais, vous l'aurez compris, seulement au pays du soleil levant... Il semble bien que nous autres, européens, soyons les grands oubliés dans cette histoire et jusque-là, seuls les PCistes adeptes de l'émulation sont à même de jouer à FFIV.

Ce n'est que le 17 mai 2002, quelques mois après la réédition PS One de FFVI que Square daigne réparer cette erreur avec la sortie providentielle de Final Fantasy Anthology en Europe qui réunit les quatrième et cinquième volets de notre chère saga. Enfin, les fans européens peuvent s'essayer à ces deux monuments du RPG sans passer par l'émulation, d'autant que le tout est proposé à petit prix et agrémenté de bonus en tout genre! Mais ce n'est pas tout : la sortie événementielle de FFI&II Dawn Of Souls sur GBA ainsi que plus récemment (juin 2006), celle de Final Fantasy IV Advance sur le même support prouvent que les premiers épisodes de la saga de Squaresoft restent plus que jamais d'actualité. Mais dites donc, ça fait beaucoup de versions tout ça ! Pour faire simple, retenez que FF4 est jouable en Europe sur deux versions : FF Anthology (PS One) et FFIV Advance (GBA). Sachez en outre que ce test se base sur la première des deux qui, à titre informatif, n'a pas été traduite en français. Autrement dit : anglophobes, passez votre chemin. Allez, ce petit récapitulatif étant à peu près complet, je suggère d'entrer à présent dans le vif du sujet...

La grande histoire de Final Fantasy IV

Le monde est en paix, gouverné par six royaumes tous très différents, culturellement et humainement parlant, mais d'une certaine manière complémentaires. Mysidia, dont je vous parlais tout à l'heure dans l'intro, en fait partie. C'est un royaume spécialisé dans l'étude et l'utilisation de la magie. Damcyan est le plus commerçant et le plus ouvert des six, Troia est gouverné par huit soeurs et les hommes n'ont aucun pouvoir, quel qu'il soit, en son sein ; Fabul est peuplé de moines qui perfectionnent sans discontinuer leurs techniques martiales, Eblan a développé l'art du Ninjustsu et reste le plus isolé de tous et enfin, Baron dispose de la force armée la plus importante de la planète. Vous incarnez Cecil, citoyen du royaume de Baron et héros de notre aventure. Il est le commandant des Red Wings, la plus puissante flotte aérienne du monde ; il maîtrise en outre de redoutables pouvoirs, directement issus de son statut de chevalier noir. Malgré son aspect plutôt sombre et sa personnalité renfermée, Cecil conserve une certaine humanité et son amour pour Rosa, une magicienne blanche également habitante de Baron, le tourmente à bien des égards malgré la réciprocité de cette affection... Son meilleur ami est aussi le meilleur chevalier dragon du royaume : Kain, lui-même secrètement épris de Rosa. Houlà, ça se complique déjà ^^ ! Bien C'est pas mal engagé, prenons maintenant connaissance de l'élément perturbateur...

Depuis quelques temps, les missions confiées à Cecil par son roi laissent notre homme de plus en plus perplexe. Le comportement de son vénérable monarque a changé depuis peu. Etrangement, il aspire à dérober la totalité des cristaux élémentaires sur lesquels repose l'équilibre du monde. Cela pourrait avoir de graves conséquences à l'échelle planétaire Aussi, cette entreprise semble-t-elle insensée, d'autant plus que notre héros se voit transformé en meurtrier, forcé de tuer quiconque essayera de l'empêcher d'accomplir sa triste mission... Mais le loyalisme étant lun des traits les plus marqués de la personnalité du chevalier noir, il s'exécute sans broncher pendant un temps. Cependant, en rentrant à Baron, après avoir récupéré le cristal de la Terre à Mysidia, s'impose une vraie réflexion sur l'ambiguïté morale de ses actions. Au château, il décide de parler à son roi, il l'interroge alors sur les raisons qui le poussent à vouloir mettre la main sur les fameux cristaux protecteurs, souvent au détriment des populations des royaumes voisins. Le roi d'Eblan, exaspéré par les questions de son fidèle vassal, décide sans la moindre hésitation de l'exclure du royaume, doutant tout à coup de son dévouement. Une dernière tâche lui est confiée : aller au village de Myst afin d'y ouvrir un mystérieux paquet. Kain, ayant voulu défendre son ami devant le roi tyrannique, est lui aussi radié ; il partent donc ensemble vers le village des Invokeurs. Vous vous en doutez, une menace autrement plus importante que celle que représente la mégalomanie soudaine du souverain de Baron plane au-dessus des têtes de nos héros mais c'est à vous qu'il incombe d'en découvrir la vraie nature...

Le scénario de Final Fantasy 4 est un vrai morceau de bravoure, teinté d'héroïsme, d'amitié, de haine et d'amour... Les ingrédients indispensables à tous FF, allez-vous me dire. C'est vrai. Mais pour la première fois dans la série, la psychologie et la personnalité des personnages sont deux notions réellement travaillées et développées au fil du jeu. Cecil est certainement le protagoniste le plus intéressant. Psychologiquement déstabilisé, voire torturé, ses choix balancent souvent entre la raison et les sentiments, notamment ceux qu'il éprouve pour Rosa. Comment faire la part des choses ? D'un côté, son statut de chevalier noir, ne lui autorisant pas grand sentimentalité et encore moins de relation amoureuse et de l'autre cette humanité, cet altruisme et cet amour qu'il porte naturellement. C'est la grande problématique de Final Fantasy 4. La part de Bien et de Mal présente en chaque homme, l'océan de contradictions et de choix que chacun connaît au cours de son existence Vous verrez que Cecil ne tardera pas à faire son choix, ce qui ira jusqu'à bouleverser radicalement son aspect physique...

Techniquement un peu vieillot...

Là, on touche à l'évidence au point faible du jeu. D'un point de vue technique, forcément, ça date un peu... On a vu tout à l'heure que le jeu était sorti sur Super Famicom en 1991, il faut savoir que les capacités de la console n'étaient alors que peu exploitées. Ajoutons que, contrairement aux versions Wonderswan Color et GBA, l'édition PS One (FF Anthology) n'a pas été retouchée graphiquement. On retrouve donc les mêmes textures et le même rendu que sur Super Nes. Ceci dit, du moment que vous n'êtes pas allergiques à la 2D, vous devriez vite vous habituer aux décors et aux petits personnages (designés par le grand Yoshitaka Amano du reste) dotés d'animations, certes quelque peu grossières mais tout de même très correctes pour l'époque. Avec un petit effort, on parvient même à apprécier la touche artistique dont transpire le soft, que ce soit au niveau des environnements/décors/maps ou à celui des personnages et des monstres. Le design reste finement travaillé, à tel point que visuellement, on ne s'ennuie jamais. Comme dans beaucoup de RPG de l'époque, on retrouve une atmosphère bien précise et un univers médiéval, bourré de constructions moyenâgeuses ou gothiques, de châteaux parfaitement symétriques, bordés de patelins, mais aussi les inévitables autant qu'innombrables grottes, sombres et menaçantes... Si vous êtes fans de RPG vieille école, vous ne serez pas dépaysés à ce niveau là. Enfin, mention spéciale aux sorts magiques ainsi qu'aux invocations qui donnent souvent lieu à des effets plutôt sympathiques. Il n'est pas inutile de préciser qu'aucun mode 60Hz n'est disponible.

Attardons-nous le temps d'un paragraphe sur lun des aspects essentiels à tout jeu de rôle qui se respecte : la bande son. Pour les retardataires qui ne seraient pas encore au courant, sachez que le très talentueux compositeur de la saga Final Fantasy, Nobuo Uematsu, est réputé dans le monde entier pour son travail chez Square. Avec les capacités sonores d'une Super Nes, forcément modestes, le bonhomme parvient à donner vie au monde dans lequel on évolue, aux situations et personnages que l'on rencontre, aux lieux que l'on visite... Et même si musicalement le quatrième opus de la saga n'égale pas certains de ses descendants (FF6, 8, 9...), il n'a aucune honte à avoir dans ce domaine. Tantôt épiques, tantôt larmoyants, parfois mélancoliques ou loufoques... Que l'on aime ou pas, les morceaux font en tout cas l'objet d'une grande variété. Pas grand-chose à dire sur le thème des combats, assez réussi sans toutefois atteindre l'excellence. Les bruitages et les sons, quant à eux, restent basiques et parfois plutôt mal choisis, difficile toutefois de s'en plaindre.

Et ça se joue ?

Si FF4 fait, à l'époque, office de vraie évolution scénaristique avec un background riche et des personnages attachants, on ne peut pas en dire autant côté gameplay. Sans être mauvais, loin de là, le système d'évolution du jeu se distingue par un manque d'originalité flagrant. D'emblée, si vous pensiez pouvoir gérer votre équipe à votre guise en la modifiant selon vos souhaits, oubliez ça ! Clairement, on ne décide à aucun moment de son équipe, celle-ci étant construite selon la progression de l'aventure ; aussi, les membres du groupe s'intervertiront au gré des événements et non en fonction des envies ou préférences du joueur. A noter à ce propos que l'équipe peut, au maximum, être constituée de cinq membres. Chaque personnage possède son propre job, sa fonction au sein du groupe. Cecil, le héros, excelle en attaque physique et peut lancer certains sorts, Kain, de par son statut de chevalier dragon, utilise une lance et peut sauter et se maintenir en l'air quelques tours avant de retomber lourdement sur un adversaire ; Rosa est calée en magie blanche et se chargera de soigner tout ce petit monde, Rydia est experte en magie noire et peut faire appel à de puissantes entités chimériques etc. Jusque là, tout va bien. Ce qui est vraiment dommage, c'est que la seule manière pour un perso d'apprendre de nouvelles techniques ou compétences est tout simplement de gagner des levels. Concrètement, il n'y a aucun système d'assimilation proprement dit si ce n'est le gain d'expérience. L'aspect stratégique et évolutif en prend un sacré coup : rien d'autre à faire que de combattre afin de remporter de l'exp ! Seule Rydia échappe à la règle ; ses invocations nécessiteront quelques efforts supplémentaires (quêtes secondaires) afin d'être obtenues. Un peu maigre tout ça Heureusement que le principe d'équipement pour chaque partie du corps est là, un peu plus poussé qu'auparavant et toujours aussi efficace.

En revanche, les combats font preuve d'un dynamisme appréciable et certains affrontements sont réellement éprouvants. La jauge Active Time Battle n'a pas encore fait sont apparition mais on s'y retrouve sans problème et le plaisir est au rendez-vous, pour peu que l'on nen demande pas trop tactiquement parlant. Cela dit, les déplacements dans les villages/donjons et sur l'atlas conservent leur rigidité et, sans gravité, peuvent être crispants par leur manque de fluidité. D'ailleurs, on dénoncera à ce sujet les chargements intempestifs, que ce soit au moment de la sauvegarde ou même simplement en ouvrant le menu principal, qui alourdissent encore un peu plus une jouabilité déjà pas forcément instinctive. Pour finir, sachez que le périple est long et laborieux. Si vous vous accrochez, vous en verrez le bout au bout d'une trentaine d'heures de jeu ; le double si vous décidez de torcher le jeu dans tous les sens et de booster vos héros. La flopée habituelle de quêtes annexes est bel et bien là. Une durée de vie correcte pour un RPG, donc. En outre, quelques cinématiques inédites ont été ajoutées à FF Anthology, rien de bien époustouflant mais l'effort est louable. Il ne tient qu'à vous, à présent, de découvrir ce pilier de la plus populaire des sagas du jeu de rôle, si ce n'est déjà fait...

Final Fantasy IV est lun de ces jeux qui marquent. Clairement dépassé techniquement, il n'en reste pas moins doté d'un excellent scénario, de personnages réellement charismatiques et d'une bande son superbe. Pour peu que l'on s'adapte au graphisme rudimentaire et que l'on mette de côté quelques lourdeurs de jouabilité, on prend un vrai plaisir à mener cette quête, incertaine et désespérée. Enchanteur, prenant et riche, voilà quelques adjectifs qui désignent à merveille l'univers du jeu. Une vraie personnalité se dégage du soft et c'est bien là son plus gros point fort. Les férus de RPG tactiques qui aiment passer des heures dans les menus à organiser leur équipe n'y trouveront certainement pas leur compte mais ceux qui souhaitent connaître une des plus belles pièces de la collection Final Fantasy ne doivent pas passer à côté de ce titre. Globalement très accessible, il faudra tout de même faire face à une contrainte de taille pour nous autres, francophones : le jeu n'a pas connu de localisation. Autant dire que pour les non anglophones, l'immersion sera difficile... Pour eux, il reste la version GBA, entièrement traduite et dotée de nombreux ajouts. Quoiqu'il en soit, le jeu en vaut largement la chandelle et je ne saurais que trop vous conseiller de vous lancer dans cette aventure ou au moins de vous y essayer. Et vous savez ce qu'on dit : mieux vaut tard que jamais !



18
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Excellent,y a pas d'autre mot



15
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Excellent ce jeu!!!

 
 
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Final Fantasy Anthology

Support Playstation
Editeur S.C.E
Développeur Squaresoft
Genre Aventure
Sortie officielle May 2002
Joueurs max 1 en local
Import NON
Titre alternatif Final Fantasy Anthology : European Edition
UPC/EAN 711719358220
 
 
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